Rendez vous chez Birgit et Cricri qui nous ont accueillis chaleureusement avec un petit café et tuiles aux amandes.

Départ 8h50 vers La Malène où nous sommes arrivés vers 12h15 pour le repas.

Pique-nique rapide avant la 1^ère averse, puis départ pour les gorges du Tarn en barque.

Magnifique parcours apaisant, spectaculaire et culturel de 8kms pour une durée de 1h, où nous avons pu découvrir les huttes de castors, une petit oiseau « le single plongeur », les nids de vautours sur les falaises, des sculptures naturelles telles que les moines, un couple d’amoureux, les 2 loups, une baume (arche)

Débarquement sur le sentier abrupt équipé de mains courantes, et heureusement, pour un retour de 8kms par le GR. L’air était lourd, humide, nous étions tous trempés… Belle mise en jambes.

Arrivés à La Malène nous avons récupéré Anne et retrouvé l’hôtel pour un repos bien mérité.

Départ 9h10 en direction du plateau du « Causse Méjean » sous une fine pluie qui s’intensifie jusqu’à midi. Pique-nique abrégé car nous étions transis par l’humidité. La nature nous a éblouis par la diversité de la flore telles que les asters des Alpes, des dizaines de variétés d’orchidées sauvages au son de la caille des blés. Vues panoramiques sur les gorges du Tarn, et du village de La Malène

Traversée de beaux hameaux à l’architecture caussenarde.

Après avoir parcouru 13,6 kms et 620 m de dénivelés arrivés au gite de La Viale, lieu d’une ancienne villa romaine.

Départ 9h10, le soleil nous a accompagné toute la journée. 

Passage à la grotte de l'homme mort, puis découverte au milieu de la forêt les arcs de St Pierre et un peu plus loin du village gallo romain.

Puis montée bien raide vers le plateau Méjean. Ambiance chaude, tropicale !

Direction Cassagne, superbe village en pierres aux toits de lauze.

Arrêt pique-nique au bord des falaises surplombant le Tarn. 

Oh mon dieu ! Juste en face un nid de vautours fauve avec un juvénil qui appelait ses parents et qui battait des ailes.-

Un des parents est arrivé avec un long chapelet de tripes dans son bec. Le juvenil rassasié s'est retiré dans la cavité. Merveilleux spectacle!

Obligé de quitter le lieu, à notre plus grand regret pour finalement voir d'autres nids sur notre passage.

Arrivés au rocher Capluc qui domine le village Le Rozier où se rencontrent la Jonte et le Tarn, les plus audacieux ont gravi les échelles qui menaient à la croix.

Arrivés à Peyreleau après un bon rafraîchissement au Rozier.

Après maintes réflexions à cause de la pluie, Thibault, notre guide, nous propose de modifier le parcours. Nous partons donc, avec nos capes de pluie, le long de la Jonte en direction du Truel, encore un superbe village! Ambiance mystérieuse! Montée raide vers la maison des Vautours où nous avons pu pique niquer à l'abri.

Visite de la maison avec vidéo. 

Départ à 14h vers le sentier balcon du vertige de la Jonte avec une belle éclaircie, enfin!

Magnifique sentier escarpé, sur des vires, avec des points de vues exceptionnels, jalonné de vases et autres silhouettes rocheuses, tels que le vase de Sèvres et le vase de chine nommés par Édouard Alfred Martel

Thibault s'arrêtait à des points d'observation stratégiques pour positionner sa longue vue vers les nids. Au mon dieux que c'était beau ! Vols de vautours autour des falaises, en dessous et dessus de nous. Vautours fauves et moines, nous étions comblés !

Fabuleuse journée. 

Départ 9h avec beau temps, cheminement sur l'adret du Tarn avec une jolie montée jusqu'aux villages Eglezine et St Marcellin.

Dernière montée abrupte avant l'arrêt du pique-nique à la fontaine La Paillasse.

Après un repos bien mérité difficile de se remettre en marche, oh mon dieu!

Direction le plateau Sauvetaire, qui a subi un terrible incendie en 2022 laissant un paysage fantomatique d'arbres calcinés.

Mais oh. Mon dieu, merci, la nature est résiliente et nous a permis de traverser des tapis floraux aux couleurs variés dignes des plus beaux tableaux impressionnistes.

Descente vers Liaucous, village de Thibault où nous pensions le voir. Encore un très beau village avec son église du 11eme siècle!

Encore une belle journée et plutôt ensoleillée avec belles vues sur le Tarn et au loin le viaduc de Millau.

Bagages repliés et rassemblés pour le transporteur, petit déjeuner tout juste terminé, les marcheur(ses)s sont tous(te)s au rendez-vous à 8 h 30 pas une minute de plus pas une minute de moins : incroyable ! Ne croyez pas qu’ils aient été indisciplinés, bien au contraire, mais là, c’était du grand art. Traversée de la Jonte et du village de Le Rozier en guise de mise en jambe, le rythme s’accélère une fois sur le GR6, Joëlle en pleine forme ayant adopté le rythme marche nordique. 13 km jusqu’à Les Vignes, le Tarn un peu plus bas sur notre gauche et les falaises abruptes de chaque côté dont les teintes blanc / ocre contrastent avec la végétation bien arrosée. Nous admirons une fois encore, rive droite, sous un autre angle les villages troglodytiques ensoleillés d’Eglazines et St Marcellin, traversons quelques rares et magnifiques hameaux, un campement un rien sauvage mais bien équipé (un bar aménagé dans une sorte d’alcôve creusée sans doute par la rivière, petits coins avec table, chaises et ou fauteuils). 12 h 10 nous traversons le Tarn à Les Vignes pour rejoindre Jean-Claude venus en auto-stop (toute sa jeunesse ! ….) pour cause de cheville capricieuse. Pique-nique à l’ombre, baignade pour un certain Marcus, le seul courageux de la troupe….

Comme prévu dans le programme et pour rester dans le cadre de la « philosophie des options », 6 d’entre-nous ont choisi de reposer leurs articulations et / ou de profiter d’une après-midi au bord de l’eau, au calme, bref un repos bien mérité. Arrêt de l’activité physique, oui mais tout de même avec une tempête de neurones : ils ont compté pour nous tous les journées du mardi au jeudi.

Les 6 autres attaquent les 13 km restants pour rejoindre la Malène : le dénivelé de 50 m de la rivière entre Les Vignes et la Malène se traduit sur le chemin par 400 m en raison de la sinuosité verticale du chemin qui suit toutes les anfractuosités et les arêtes des pentes. Anne, bien décidée à relever le défi, mène un train d’enfer, doublée ensuite par Marcus comme shooté au redbull (non, enfin plutôt à coups d’anti-inflammatoires et anti douleurs régulièrement pris). Catherine et Sabine imperturbables maintiennent un rythme régulier, accrochées à l’idée du plaisir de déguster une bonne crème glacée réconfortante. Christian, Marcus et Hélène avalent les derniers km en révisant les chants de la chorale pour se donner du baume au cœur (plus militaire qu’artistique il faut bien le dire…). Bref, tout ce petit monde, fatigué mais ravi peut enfin déposer son séant sur une chaise de bistrot. Nous récupérons les voitures et rejoignons le reste de la troupe à Les Vignes. Catherine, montée dans sa voiture avec cuillère et pot de crème glacée à la main est ressortie 12 km plus loin avec la même cuillère et le même pot, sans glace : nous ne savions pas que sa voiture était équipée d’un pilote automatique ????!!!!

Vite vite, 18 h 30, ça va être l’heure de l’apéro au bord de l’eau, ils sont déjà sur la terrasse… : douche rapide, inspection tiques et soirée agréable autour d’un repas. Les plus vaillants regardent Roland Garros sur l’écran de la salle de bar pendant que les autres rejoignent les bras de Morphée

Départ tranquille de l’hôtel à 9 h 15, petit arrêt à La Malène pour ceux qui n’ont pas eu le temps de visiter ce joli village. Nous arrivons à Sainte-Enimie au milieu du trail de la Lozère : aucun d’entre nous ne s’y inscrit……. Petit tour à la Fontaine de Burle, pour certains, déambulation dans les ruelles escarpées, shopping, avant de se retrouver au restaurant Le Bel Eté où nous avions réservé. Occasion idéale pour fêter l’anniversaire de Dominique en lui remettant un « certificat » de randonneur estampillé par chacun d’entre nous. Anne et Jocelyne résidant hors département et adhérentes pour l’occasion (nous l’espérons, peut-être davantage) et dont l’anniversaire ne tombe pas ce jour, n’ont pu recevoir ce diplôme, mais chacun sait que cela n’enlève rien à leur expérience de randonneuses. Dans la lignée des paysages découverts durant ces 7 jours, la qualité gastronomique de ce restaurant nous a permis de conclure en beauté et dans la bonne humeur cette semaine partagée.

Encore merci à Brigitte et Christian qui ont gardé nos voitures pendant notre rando.

Les 12 randonneur(euse)s des Gorges du Tarn et de la Jonte